Table basse, 1955

Georges Jouve a créé cette table basse en 1955.

Composée en céramique et en métal, elle est signée et monogrammée sous le plateau.

Ses dimensions : 27 X 63 X 63 cm.

Meuble à fards, 1929

Jacques-Émile Ruhlmann s’inspire beaucoup des meubles du XVIIIème siècle comme ceux faits par Reisener et Weisweiler, dans son travail. C’est la raison pour laquelle son mobilier est à la fois luxueux et raffiné.

Le meuble à fards est destiné à présenter des objets luxueux. Jacques-Emile Ruhlmann en a créé huit versions connues à ce jour. Son nom pourrait être inspiré d’une figure féminine dansante du peuple ancestral d’Afrique de l’Est, les « Afars ». Ce modèle est en loupe de noyer d’Amérique recouvert d’un vernis cellulosique brillant avec un ornement en bronze doré. L’intérieur du meuble est en chêne blond.

 

Table « Double colonnettes », 1923

Jacques-Émile Ruhlmann est un décorateur possédant une grande imagination, mais surtout un grand sens de l’élégance. On peut le voir aisément à travers cette table basse dite « Double colonnettes », créée en 1923. Un meuble d’une allure sobre et soignée avec des finitions impeccables, idéal pour trôner au milieu d’un séjour à la décoration élégante.

Applique dit de forme octogonale, 1920-1925

Chez Jacques-Émile Ruhlmann, les formes banales deviennent des meubles luxueux se rapprochant de vraies œuvres d’art. C’est le cas pour cette « Applique dit de forme octogonale, 1920-1925 ». Ici, des matériaux mixtes, albâtres et bronze argenté, ont été utilisés intelligemment pour donner un effet naturel assez fascinant : un accessoire lumineux de grande qualité.

Lampe dit « Bouillotte », 1925

Ingéniosité et savoir-faire exquis ont été combinés par Jacques-Émile Ruhlmann pour façonner cette belle lampe dit « Bouillotte », 1925. Ici, chaque détail a été travaillé pour faire ressortir un travail de grande qualité. Véritable objet de collection, cette lampe s’adresse surtout à ceux ou celles qui aiment le luxe et l’élégance.

Appliques dit « Eventail », 1925

Jacques-Émile Ruhlmann a été célèbre pour ses élégants meubles et ses accessoires. Il aimait les formes pures et appréciait travailler avec les matières précieuses. Les appliques « Evantail », 1925, montrent le génie et le goût élégant de Ruhlmann. En s’inspirant simplement de la forme d’un éventail, il a su créer un accessoire de luxe.

Meuble d’appui Triplan, 1913

Si l’on aime l’élégance, on ne peut qu’apprécier ce « Meuble d’appui triplan, 1913 » créé par Jacques-Émile Ruhlmann. La couleur du meuble a été travaillée pour faire ressortir les plus belles teintes du bois d’Ébène et du bois de Chêne. Quant au design, on reste dans la sobriété : les fioritures sont simples.

Chiffonnier « Cabanel », 1921-1922

On retrouve sur ce « Chiffonnier « Cabanel », 1921-1922 le goût exquis de Jacques-Émile Ruhlmann pour l’élégance. Les essences de bois nobles, dont l’ébène et le chêne, ont été utilisées pour créer un meuble luxueux et raffiné. Et les quelques petites touches d’ivoire en guise de décoration apportent à ce meuble une autre touche de prestige.

Meuble de collectionneur « Duval », 1924

Jacques-Émile Ruhlmann était un décorateur et ensemblier réputé pour son apport fondamental dans le développement du style Art déco, mais surtout pour la qualité exceptionnelle de ses meubles en bois comme on le voit sur ce Meuble de collectionneur « Duval », de 1924. Ce meuble d’apparat se présente comme un coffre finement agencé qui se dresse entre un court fronton et un piètement composé de 2 pairs de pieds de style différent, le tout surélevé par un socle assez discret. Fait en Ébène, ce meuble est idéal pour abriter des objets de collections prestigieux.

Mobilier « Bibliothèque », 1926

Jacques-Émile Ruhlmann, surnommé « le Riesener de l’Art déco » pour la qualité de ses créations, était l’un des décorateurs les plus influents de son époque. On voit bien à travers ce mobilier « Bibliothèque », 1926, son style épuré et élégant : une vision à l’avance sur son temps ; et sa préférence pour les essences rares.

Bureau dit « Boudoir du Collectionneur », 1928

Le bureau dit « Boudoir du Collectionneur », 1928, est un élégant bureau à roulettes créé par Jacques-Emile Ruhlmann et exposé pour la première fois en 1923, au XVIème Salon des Artistes Décorateurs. Avec son ornementation luxueusement austère et son esprit très moderne, ce meuble n’a rien à envier aux élégants pupitres Louis XV.

Commode dit Lassalle, 1925

Les mobiliers créés par Jacques-Émile Ruhlmann des années 1920 présentaient souvent des motifs décoratifs abstraits pour souligner leur forme subtile. Ruhlmann nous montre son goût exquis de l’élégance et sa préférence pour les lignes courbées sur cette « Commode Lassalle », 1925. Le meuble est décoré d’une délicate broderie en ivoire et d’un motif losange.

Fauteuil crocodile, 1972

Table oiseau d’argent, 1990

Étagère murale, 1950

Charlotte Perriand est l’un des designers les plus influents du XXème siècle. Décoratrice de grand génie, Perriand est devenue célèbre grâce à sa vision unique du monde du mobilier. Elle a supprimé tous les éléments superflus et prône le pragmatisme dans toutes ses œuvres. On retrouve cette vision pragmatiste et minimaliste sur cette « Etagère Murale, 1950 ».

Lit Maison du Brésil, 1959

Le « Lit Maison du Brésil, 1959 » est un beau meuble créé par Charlotte Perriand pour Le Pavillon du Brésil qui se trouve dans la Cité Internationale Universitaire de Pairs (1959). Ce lit de repos peut accueillir 2 personnes. Les pieds de type rondin offrent une assise stable et optimisent le confort.

Mobilier « Banc », 1962

Mobilier « Banc », 1962, est l’un des meubles les plus rares créés par Charlotte Perriand. Elle l’a conçu exclusivement pour la firme pharmaceutique Suisse Sandoz. Faite en bois d’Iroko, ce banc a été doté de siège rembourré pour offrir un confort sans pareil. Ce meuble s’adresse surtout aux entreprises et aux professionnels libéraux : il sera parfait comme banc d’attente.

Bibliothèque : « La Maison du Mexique », 1952

Charlotte Perriand a conçu cette bibliothèque « La maison du Mexique », 1952, pour la Maison du Mexique à Paris. Ce meuble double-face était utilisé comme séparation entre l’espace des toilettes et l’espace de vie des chambres d’étudiants. Il se distingue par son esthétique très aérée, ses mélanges de couleurs exquis et l’ergonomie offerte par les casiers amovibles.

Table « Cité Cansado », 1958

Table « Cité Cansado », 1958 a été créée par Charlotte Perriand pour Cité Casando en Mauritanie. C’était une ville créée à partir de zéro. Perriand a été invité à concevoir divers meubles pour les logements et les espaces publics. Cette table a été faite à partir du bois stratifié avec un dessus de Formica et une structure en fer laquée.

Banquette modèle « Cansado », 1958

Cette banquette modèle « Cansado », 1958, créée par Charlotte Perriand est une véritable pièce de collection. Son design vintage et le grand travail fait sur le bois de chêne pour en faire ressortir la couleur naturelle lui donne un aspect très cosy. Il est possible de l’installer partout, c’est un meuble passe-partout.

Pour aller plus loin, vous retrouverez les prix des banquettes Charlotte Perriand sur notre page dédiée.

Chaise « Lounge chair », 1947

Magnifique qu’est cette chaise « Lounge Chair », 1947. Faite à partir du bois de frêne, cette chaise affiche un design vintage. Son ingénieuse conception garantit en plus un niveau de confort élevé. Si l’on recherche la qualité et la perfection, cette chaise est sans doute l’idéal. Elle sera parfaite posée dans un séjour à la décoration assez vieillotte.

Enfilade Cansado, 1958

« Enfilade Casando, 1958 » est un meuble créé par Charlotte Peirrand et réaliser par Steph Simon. Avec ses 4 tiroirs et ses 2 portes coulissantes, ce meuble offre un espace de stockage important. Sa structure en acajou plaqué en fait un meuble durable qui peut accompagner son propriétaire durant de nombreuses années.

Chaises « Les Arcs », 1960

Les chaises « Les arcs », 1960, font partie des réalisations les plus connues de Charlotte Perriand. Elle les a réalisées en 1960 pour la station de ski les Arcs. La structure métal chromé et le cuir de qualité d’une couleur cognac garantissent confort et durabilité. On retrouve sur ces meubles, le pragmatisme de Perriand.

Bibliothèque modèle « Nuage », 1958-1962

Charlotte est une des artistes majeures du XXème siècle. Elle excelle en architecture et dans la création de mobilier original. Cette bibliothèque modèle « Nuage », 1958-1962, est l’un des nombreux meubles qu’elle a créés. Ici, honneur à la légèreté et à la sobriété. Ce meuble ira très bien à une pièce à la décoration sobre.

Table basse dit « Tour Eiffel », 1947

Il est courant pour les artistes de s’inspirer de ce qui les entoure pour concevoir une œuvre. Jean Royère s’est pour sa part inspiré de la Tour Eiffel pour réaliser cette magnifique Table basse dit « Tour Eiffel », 1947. Les croisements de fer rappellent effectivement la forme de ce monument emblématique de Paris.

lit dit « croisillon », 1955

Les meubles de Jean Royère ont pour la plupart un design moderne, parfois même avant-gardiste. On retrouve cet avant-gardisme sur cette pièce de l’artiste : Lit dit « Croisillon », 1965. Le design est soigné et sobre. La couleur a été travaillée pour faire ressortir les couleurs claires naturelles du bois de chêne.

Bureau dit « Quilles », 1956

Jean Royère a été reconnu par ses pairs pour sa grande originalité. Et ce bureau dit « Quilles » est l’une des preuves de cette grande originalité. Sur ce meuble en chêne, l’artiste s’est inspiré de la forme d’une batte de Baseball pour le design des pieds du bureau ce qui donne pour résultat un meuble unique encore jamais vu.

Fauteuils « Oeuf », 1955-1960

Les Fauteuils « Œuf » de Jean Royère ont été conçus par l’artiste en s’inspirant de la forme d’un œuf. En plus d’être des articles de décoration exceptionnels, particulièrement adaptés à une décoration intérieure moderne et sobre, ils vous promettent confort et chaleur. Vous pouvez les installer dans votre séjour ou sur votre terrasse.

Mobilier « Cabinet », 1935

Jean Royère est l’un des décorateurs les plus influents de son époque, malgré une entrée retardée dans le monde de la décoration. Son imagination, son sens exquis pour l’élégance, son inventivité, et son pragmatisme, lui ont permis de réaliser de nombreux meubles uniques, dont ce Mobilier « Cabinet » qu’il a réalisé en 1935.

Mobilier « Bibliothèque », 1950

Merveilleuse qu’est cette pièce de Jean Royère : Mobilier « Bibliothèque », 1950. L’artiste a étudié la couleur et le design de ce meuble de manière à avoir un résultat élégant et chic. Ce mobilier s’accordera à merveille avec une décoration à l’accent moderne et contemporaine. On dépasse les limites de la simple décoration, on entre dans le monde de l’art.